Quelles vies y meurent en silence, sous la furie de l’homme ou sous le joug du temps? Quelles morts revivent sous la magie bienheureuse de la vie, d’un cycle à autre, pour perpétuer l’être?
Je regarde cette verte immensité et je me pleure d’être doué de paroles et de dépenser ma vie à fabriquer la mort. la mort en prête-à-porter pour les autres, la redoutant pour moi-même.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire