La question, considérée sous son angle de privation de liberté, mérite quand même qu'on en débatte. Alain Chapelier, prêtre pendant trente (30) ans, vient de démissionner en publiant un livre aux éditions First dans la collection Témoignages Biographie avec des phrases comme "je quitte le clergé, je reprends ma liberté après 30 ans". Il faut donc convenir que les multiples privations que vivent les prêtres, sont vécues par certains comme une privation de leur liberté: "je reprends ma liberté". cette seule phrase suffit pour lancer la fronde. Cette reprise de liberté implique une ampleur des mouvements et un coeur qui lève l'ancre vers des ailleurs inconnus, insoupçonnés donc jamais vécu. Les plus hypocrites? les plus faibles? les plus lâches? ne seraient pas partis. Ils seraient restés dans le bataillon, à dire des messes sans conviction. Moi, j'ai salué cette dissidence.
Comme pretre et aumonier vous etiez formidable, je pense que sans vous je ne croierai plus en Dieu, j'aurai perdu ma foi
RépondreSupprimerVous etiez formidable en pretre et vous l'etes toujours
Merci
Notre entourage influence souvent nos fois et notre ferveur. Mais ce qu'il voir au-delà, c'est notre relation à Dieu moins que nos relations avec les hommes. Si le chrétien devait tenir compte des crimes qu'on reproche aujourd'hui aux prêtres, les églises seraient vides. Mais avec Dieu, c'est une relation personnelle. Et Alain dit, je l'ai suivi sur Canalplus.fr: il n'a pas perdu sa foi.Il l'a
RépondreSupprimerOn ne devient pas prêtre avant l'âge mâture et personne ne prive les prêtres de leur liberté.
RépondreSupprimerSi on veut cesser d'être prêtre, on n'a pas besoin de parler de liberté. C'est tout ce que j'ai à dire. IMK