
Si nous pouvions écouter le cri de cette bouche ouverte pour toute la violence que l’homme inflige à la nature, il est bien des angoisses de serre et de soucis de réchauffement qu’on s’éviterait. Si nous pouvions écouter les gémissements de cette bouche violentée par les mains humaines, le désert ne serait plus une frayeur, la fonte des glaciers, une angoisse. Mais l'homme n'en fait qu'à sa tête, s'il se trouve qu'elle lui sert encore à quelque réflexion.
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